FelineWave

Toujours dans le cadre du test du DS109 auquel je participe, une de nos premières missions est de mettre en place un site web accessible depuis l’extérieur.

Dans ce post, je vais détailler pas-à-pas comment mettre en oeuvre un site WordPress.

Mise à jour du firmware du DS109

La première chose à faire est de mettre le firmware à jour. On peut récupérer le dernier firmware dans la rubrique support sur le site de Synology. On upload ensuite le fichier vers le DS109 via la rubrique Mise à jour du progiciel de l’interface d’administration.

Activation du service web et MySQL

Dans la rubrique Services web, il faut ensuite cocher Activer Web Station et Activer MySQL. Le DS109 va alors créer un nouveau répertoire partagé nommé web qui sera la racine du service web offert par le NAS. On peut tout de suite vérifier le bon fonctionnement du service en plaçant un fichier dans ce répertoire : si tout va bien, on peut aussi y accéder via son navigateur : http://IP_du_NAS/votre_fichier.

Installation de phpMyAdmin

PhpMyAdmin est une appli web qui permet de gérer facilement sa base de donnée MySQL. Il est indispensable de l’installer avant de pouvoir aller plus loin. On va ainsi pouvoir créer des bases, ajouter des comptes, etc.

Pour l’installation de phpMyAdmin, je vous invite à consulter ce post. L’utilisation du package Synology facilite grandement l’installation; du coup aucune bidouille n’est nécessaire. Il suffit de suivre les instructions de la release note du package.

Création d’un nouveau compte MySQL

Pour l’installation de WordPress, on va créer une base de données spécifique avec un utilisateur spécifique. Celà va permettre de créer un compte et une base complètement dédiés à l’application.

Dans PhpMyAdmin, on va dans l’onglet Privilèges, on clique sur Ajouter un utilisateur et on entre les données attendues (dans mon cas, je crée un utilisateur wordpress en localhost). Il faut penser à cocher Créer une base portant son nom et donner à cet utilisateur tous les privilèges sur cette base pour créer la base nommé wordpress dans laquelle on va faire l’installation ensuite.

Si tout s’est bien passé, une nouvelle base wordpress vient de s’ajouter à gauche.

Installation de WordPress

Il faut commencer par télécharger l’application sur le site officiel de wordpress : http://www.wordpress-fr.net/. On dézippe l’archive avant d’envoyer son contenu dans un répertoire de la racine web de votre NAS (dans mon cas, j’utilise le répertoire \\IP_DU_NAS\web\wordpress).

Via votre navigateur, vous vous connectez à ce répertoire (ie http://IP_DU_NAS/wordpress/ pour moi) et on arrive sur l’assistant d’installation de wordpress. Il n’y a alors plus qu’à se laisser guider.

1 ère étape : on clique sur Créer le fichier de configuration.

2 eme étape : on renseigne les informations pour la base de données.

3 eme étape : on continue en renseignant quelques données utiles. Attention, après cette étape, l’installateur va nous donner un mot de passe admin temporaire qu’il va falloir conserver pour s’authentifier la première fois (faites un copier-coller).

Et c’est fini !

Petit passage dans la configuration de WordPress

Comme on souhaite rendre WordPress accessible depuis Internet, il faut modifier le chemin de celui-ci dans la configuration. Par défaut, le configurateur va inscrire l’adresse utilisée pour l’installation (qui en l’occurrence est une adresse locale et ne sera donc pas accessible depuis Internet). Il faut remplacer cette adresse par le chemin relatif d’installation de WordPress (Pour moi c’est dans le répertoire wordpress à la racine du serveur).

Ouverture des ports de la freebox

Si vous voulez que votre site tout beau tout neuf soit accessible depuis l’extérieur, il faut ouvrir le port qui va bien dans votre box. Etant chez Free, je ne connais que leur interface mais les autres FAI offrent certainement tous les mêmes fonctionnalités.

On s’authentifie sur free.fr, puis dans la rubrique Internet, on choisit Configurer mon routeur Freebox. Dans la partie Redirections de port, il faut ajouter une nouvelle ligne avec les informations suivantes :

Ces informations permettent la redirection du port 80 (http) vers l’adresse IP du NAS. Il faut remplacer X pour l’adresse IP du NAS.

Pour que le NAS ait toujours la même adresse IP, on peut aussi demander un bail permanent pour son adresse MAC. C’est juste en dessous dans les Baux DHCP permanents :

Dans cette partie, il faut choisir une adresse IP pour le NAS puis donner son adresse MAC (elle est inscrite sur le NAS).

Après reboot de la freebox, votre site devrait être accessible depuis l’extérieur en demandant votre adresse publique dans un navigateur :o)

Synthèse de cette installation

Globalement, cette installation ne pose aucune difficulté majeure. Le seul point qui m’a posé des difficultés a été l’installation de PhpMyAdmin mais j’ai découvert ensuite le package fourni par Synology qui rend cette opération très accessible et rapide. C’est vraiment une bonne idée pour se simplifier la vie ces packages. WordPress est très facile à installer et semble complètement compatible avec l’environnement offert par le NAS. Ce NAS Synology offre un véritable serveur Apache qui sera en mesure d’héberger toutes les applications php comme le ferait n’importe quel serveur.

D’une couleur improbable mais irrésistible, voici fluff !

Ca se mange … mais je ne sais pas encore vraiment comment ni avec quoi. Il s’agit en fait d’un pâte à tartiner sucrée au goût Marshmallow (fraise) qu’on peut utiliser comme du Nutella. Pour les estomacs solides (ou américano-compatibles), sachez qu’il est de bon ton d’associer le fluff à du beurre de cacahuète pour créer le Fluffernutter.

Je cherchais depuis longtemps un module qui me permette de suivre ma consommation électrique online. Je pense avoir trouvé ma perle rare avec le TED 5000. Pour le moment il est seulement disponible outre-atlantique en 110V mais devrait être disponible en Europe (230V/50Hz) d’ici fin 2010 !

Le bon côté, c’est que je vais donc avoir plus de temps pour traiter mon buffer de choses à faire d’ici là.

Un article d’Earth2tech sur d’autres outils similaires au TED 5000 : 10 monitoring tools bringing smart energy home. Quand on voit le nombre de produits à venir, on comprend que ce n’est qu’une question de temps avant que toutes ces solutions inondent le marché

Benoît, un de mes amis, vient d’emménager dans un appartement neuf. Conformément à la norme NF C 15-100, cet appartement dispose bien de connecteur RJ-45 dans chaque pièce pour le réseau de communication. Il dispose de 3 prises RJ45 installées dans le séjour, la chambre et la cuisine. Pour autant, l’électricien qui a monté son installation s’est contenté du minimum en réalisant un câblage strictement téléphonique avec un boîtier DTI. Bref, on est loin de l’esprit de la norme qui vise à intégrer la dimension multimédia et réseau dans l’habitat en permettant le brassage des différentes fonctions dans chacune des pièces !

Inspiré par mon post sur l’utilisation des prises téléphoniques pour le réseau Ethernet, il a apporté quelques modifications à son installation. Son but est de disposer du téléphone et du réseau Ethernet sur les différentes prises RJ45 de son appartement.

Voici le schéma de principe de l’installation modifiée :

Schéma de principe des modifications de l'appartement de Benoît

Après modification, l’appartement permet donc :

• d’avoir la freebox dans le salon. Elle reçoit le signal France Télécom et renvoie le réseau Ethernet et le téléphone freebox vers le réseau.
• d’avoir le réseau Ethernet, les téléphones freebox et France Télécom dans la chambre.
• d’avoir les téléphones freebox et France Télécom dans la cuisine

Le schéma ci-dessous détaille le câblage du boîtier télécom du tableau électrique de l’appartement. On y voit en particulier comment sont interconnectés les différentes paires de câbles qui partent vers le séjour, la cuisine et la chambre. Un tel schéma permet de choisir où installer chaque élément et de changer de configuration facilement.

Câblage du tableau électrique réseau de communication

L’étape suivante consiste à réaliser des adaptateurs permettant de tirer parti de tous ces canaux disponibles sur les RJ45 du logement. Commençons par celui du séjour permettant de connecter la freebox au réseau :

Adaptateur freebox

Adaptateur freebox

L’adaptateur freebox a une prise RJ45 côté mur et 1 RJ45 + 2 RJ11 côté freebox. La RJ45 permet d’extraire le réseau Ethernet, une RJ11 amène le réseau FT et l’autre extrait le téléphone freebox.

Côté chambre, Benoît a seulement réalisé l’adaptateur permettant de récupérer le réseau Ethernet. Côté mur, on trouve une fiche RJ45 et côté PC une embase RJ45 permettant d’adapter ensuite n’importe quel câble réseau.

Adaptateur Ethernet pour la chambre. Celui-ci permet d'isoler la paire 4-5 pour ne pas perturber la ligne France Télécom.

Superbe spectacle que ces vieilles dames lancées sur la côte de Gaillon ! Mécanique et élégance étaient au rendez-vous de cette seconde rétrospective de la course de côte de Gaillon 110 ans après, le 27 septembre 2009. Magnifique après-midi offerte par le Lions Club de Vernon, au profit de l’association locale Prépare-Toit. Une très belle initiative couronnée par un public nombreux sous un joli soleil de septembre.

Ayant eu la chance de pratiquer la journée adhérents FNAC dernièrement, j’ai été assez surpris de voir mes camarades consommateurs souffrir à cette intrusive question de caissière : vous prenez les chèques cadeaux de 10 € par tranche de 100 € d’achats (l’offre des journées adhérents) ou bien vous prenez les 5% de la carte de fidélité ?

Bref, c’est la guerre des réductions, le client ne sais même plus laquelle choisir au sein d’un même magasin !

Pour nous aider, je trace ci-dessous le montant de réduction accordé par la FNAC en fonction du montant total des achats. En rouge, l’offre des week end adhérents à 10 € par tranche de 100 €. En bleu, la réduction habituelle des 5% sur les produits high tech.

En fait, c’est très simple :

• Si mes achats font moins de 100 €, il faut choisir la réduction des 5%
• Si mes achats font plus de 100 €, il faut systématiquement choisir les chèques de 10 €.

Bien sûr, je pars du principe que les consommateurs souhaitent obtenir le maximum de réduction … et qu’ils envisagent de revenir à la FNAC plus tard pour dépenser leurs bons d’achat – ce qui est probable vu qu’ils ont une carte de fidélité ;o)

Heureux possesseur depuis la semaine dernière d’un nouveau MacBook Pro 13″ à 2.53GHz, je viens de tester l’encodage de l’un de mes DVD.

Ce nouveau MacBook est un glouton de l’encodage ! Au début j’avais même du mal à croire les chiffres : un bon 150 fps et un film encodé en MPEG-4 (FFmpeg) en environ 15 minutes avec le logiciel HandBrake. Par contre si j’encode en H264, on tombe à 30 fps et un encodage en 1 heure 15 minutes environ.

Petit expérience culinaire pour ce dimanche : la brioche aux pralines !

Ayant eu le privilège de gouter à une praluline la semaine dernière, j’ai voulu tenter l’expérience moi-même. Bien que ma brioche aux pralines n’arrive pas au niveau d’un maître pâtissier reposant sur savoir-faire de 50 ans, je suis agréablement surpris par ce coup d’essai. C’était d’ailleurs la première fois que je préparais une recette type ‘pain’ avec de la farine de boulanger, pétrissage & co.

Les ingrédients :

• 150 g de pralines roses
• 250 g de farine
• 150 g de beurre
• 3 oeufs
• une pincée de sel
• 25 g de sucre en poudre
• 1 sachet de levure de boulanger

Préparation :

Préparez la levure de boulanger dans un petit bol avec de l’eau chaude et un peu de sucre. Fermez avec un film plastique pour isoler les levures.

Mélangez la farine, le sucre, le sel et la levure. Ajoutez ensuite les oeufs battus et le beurre fondu. Pétrissez jusqu’à obtenir une pâte bien lisse et élastique.

Mettez la pâte dans un saladier et laissez reposer dans un endroit tiède.

Concassez les pralines.

Quand la pâte a doublé de volume, mélangez-y les pralines. Laissez reposer à nouveau environ 30 minutes.

Cuisson :

Une fois la pâte reposée, faites cuire au four pendant 25 minutes à 180°. Laissez refroidir avant de servir.

Par défaut, la configuration Apache des NAS Synology ne permet pas d’afficher automatiquement le contenu des répertoires WEB (pour la fonctionnalité Web Station). Du coup, quand un visiteur veut voir le contenu d’un répertoire qui ne possède pas de fichier index, il est redirigé vers une page d’erreur :

Page d'erreur 403 Synology

Voici comment modifier ce comportement pour afficher la liste des éléments du répertoire :

1. Pour commencer, il faut activer le service telnet ou SSH dans la partie management du NAS (Services réseau \ Terminal). Sur mac, j’ai directement accès au SSH via le terminal. Sur XP, ce n’est pas le cas et il faudra utiliser telnet.
2. Téléchargez sur Internet un jeux d’icônes pour Apache à décompresser et sauver sur le répertoire public du NAS.
3. Connectez-vous au NAS en telnet ou ssh via un terminal. Utilisateur root et le mot de passe de l’admin.
4. On copie les icônes Apache :

cp -r /volume1/public/icons/ /usr/syno/apache/

cp -r /volume1/public/icons/ /usr/syno/apache/

5. On rapatrie le fichier de configuration d’Apache pour pouvoir le modifier facilement via un éditeur de texte :

cp /usr/syno/apache/conf/httpd.conf-user /volume1/public/

cp /usr/syno/apache/conf/httpd.conf-user /volume1/public/

6. On modifie le fichier httpd.conf-user disponible dans le répertoire public comme ceci :

<Directory "/var/services/web"> # # Possible values for the Options directive are "None", "All", # or any combination of: #   Indexes Includes FollowSymLinks SymLinksifOwnerMatch ExecCGI MultiViews # # Note that "MultiViews" must be named *explicitly* --- "Options All" # doesn't give it to you. # # The Options directive is both complicated and important.  Please see # http://httpd.apache.org/docs/2.2/mod/core.html#options # for more information. # Options Indexes MultiViews   # # AllowOverride controls what directives may be placed in .htaccess files. # It can be "All", "None", or any combination of the keywords: #   Options FileInfo AuthConfig Limit # AllowOverride All   # # Controls who can get stuff from this server. # #Order allow,deny #Allow from all </Directory>

<Directory "/var/services/web"> # # Possible values for the Options directive are "None", "All", # or any combination of: #   Indexes Includes FollowSymLinks SymLinksifOwnerMatch ExecCGI MultiViews # # Note that "MultiViews" must be named *explicitly* --- "Options All" # doesn't give it to you. # # The Options directive is both complicated and important.  Please see # http://httpd.apache.org/docs/2.2/mod/core.html#options # for more information. # Options Indexes MultiViews # # AllowOverride controls what directives may be placed in .htaccess files. # It can be "All", "None", or any combination of the keywords: #   Options FileInfo AuthConfig Limit # AllowOverride All # # Controls who can get stuff from this server. # #Order allow,deny #Allow from all </Directory>

7. Après avoir cette modification, on replace le fichier de config à sa place :

cp /volume1/public/httpd.conf-user /usr/syno/apache/conf/

cp /volume1/public/httpd.conf-user /usr/syno/apache/conf/

8. On redémarre le NAS pour prendre en compte les modifications. Et ça marche :

Après modification, Apache nous donne la liste du contenu des répertoires !

Au final, on y arrive. Cependant, je trouve dommage que Synology n’ait pas activé cette fonction par défaut. C’est sûr que d’un point de vue sécurité, il est plus prudent de cacher le contenu des répertoires. Pourtant la norme aujourd’hui chez les hébergeurs est plutôt à l’accès au listing du répertoire. L’utilisateur peut toujours (très facilement) créer un fichier index ou bien créer un fichier .htaccess pour limiter les visiteurs curieux. Cette manipulation reste incomparablement plus facile que la modification du httpd.conf que nous venons de faire.

Ou alors, il faudrait que monsieur Synology ajoute une petite case à cocher dans son IHM de gestion pour donner à l’admin la fonction de listing en un clin d’oeil.

Je vous livre ci-dessous le résultat de mes tests de performance du DS109 sur les fonctionnalités qui m’intéressent le plus.

Transfert de fichiers

En terme de taux de transfert, le pas est grand entre le DS109 et mon ancien DS-101j. Avec le DS109, ça booste et il est impératif de disposer d’un réseau Gigabit pour profiter pleinement de ses performances ! Pour un réseau domestique comme le mien, les taux de transfert du DS109 sont tout à fait satisfaisants et permettent de partager des fichiers avec une grande rapidité.

Stream de video HD en UPnP / DLNA vers la PS3

Aucun problème de lecture vidéo HD en UPnP avec le DS109. Mes plus gros fichiers sont issus d’un caméscope numérique et présentent des pointes de débit à plus de 80 Mbps. Malgré ce fort débit (un DVD est aux environs de 5 à 6 Mbps), ni le DS109 ni la PS3 ne bronchent et la vidéo passe avec une fluidité déconcertante.

A titre de comparaison, je rencontrais des saccades de lecture à partir de 20 Mbps avec le DS-101j.

Moi qui avais abandonné le stream de vidéo HD depuis le DS-101j au profit du logiciel TVersity sur PC à cause des problèmes de saccades, je pense maintenant passer au DS109 !

Serveur WEB

Pour tester les performances du serveur web, j’ai réalisé une installation de WordPress 2.8.4. WordPress est connu pour être un blog assez lourd. Pour tester la performance, je choisis une page arbitraire et je compare les temps de génération entre le DS109, le DS-101j et mon hébergeur OVH.

Les performance web du DS109 sont à des années lumières du DS-101j. Là où le DS-101j est carrément impraticable, le DS109 offre des perspectives. Cependant, les 3.4 s que j’ai mesuré avec le DS109 sont insuffisantes pour une navigation confortable. Bien sûr, avec des sites plus simples, plus optimisés ou avec moins de niveaux d’abstraction, la qualité de navigation va s’améliorer.

Photo Station

Ce qui m’intéresse dans la fonction Photo Station, c’est le temps nécessaire au NAS pour générer les vignettes des images chargées. Pour 49 photos représentant 48 Mo au total, il faut à peu près 8 minutes de traitement pour obtenir toutes les vignettes (soit un peu plus de 10 s par image).

Je n’ai pas entrepris la même opération sur le DS-101j qui n’est vraiment pas à son aise avec cet exercice. Pour autant, je ne peux pas dire que le DS109 s’en tire haut la main et je suis un peu déçu qu’il ne s’en soit pas mieux tiré.

Synthèse des performances par rapport à mon usage

Par rapport à mon utilisation, le DS109 présente finalement des performances en demi-teinte. Bien sûr,  le DS109 est incomparablement plus rapide que mon DS-101j mais comme c’est ma référence, il fallait que je les teste l’un par rapport à l’autre.

Les points que je trouve vraiment satisfaisants : les taux de transfert en partage de fichier et en stream UPnP.

Les points que je trouve moins satisfaisants : la vitesse sur les fonctions web comme le traitement des scripts complexes en PHP et la générations des vignettes de Photo Station.

Pour conclure, je dirais que de toute façon, ce ne sont pas vraiment les performances web que j’attends d’un NAS. Bah oui, mettre du temps générer des vignettes ne va me gêner -et encore- qu’une fois quand elles vont être traitées. Par contre, les fonctions de partage de fichiers et de stream de video sont des fonctions que j’utilise intensivement et qui ont besoin d’être performantes. Le DS109 n’est donc peut être pas un foudre de guerre sur toutes ses fonctionnalités mais il présente une bonne répartitions des performances sur les fonctions essentielles que je peux attendre d’un NAS.